IMPEACH GEORGE BUSH!!

5.4.03

i can't remember these days...
pourquoi ne veux-tu pas t'éteindre, pente douce? tu veux que je me trébuche, que je tombe, la main dans une flatte? ca m'est déjà arrivé, ne t'inquiète pas. mais j'attends la descente, la grande aventure. je me m'en approche et ça me réjouit. dès que j'y arriverai, je pourrai enfin faire demi-tour en courant. le psychologue et l'infographiste deviendront-ils psychologue et infographiste? ou l'infographiste deviendra-t-il psychologue et le psychologue infographiste? l'infographiste deviendra-t-il client du psychologue? le psychologue deviendra-t-il client d'un autre psychologue? je ne m'en rappelle pas...

crayologie...
un seul trait...

3.4.03

jean dubuffet a dit...
"mes propres impulsions ont toujours été, je crois, celles qui constituent la position de l'anarchisme - avec un vif goût des fraternisations chaleureuses. [...] j'aime avec chaleur les individus pris séparément. mais l'entité sociale (quelque forme qu'elle prenne), je la ressens comme toxique et détestable."

"l'appétit de cohérence est le grand responsable de notre appréhension falsifiée et dénaturée des choses."

"je me suis toujours entêté dans l'idée que les valeurs tenues pour négatives peuvent devenir facteurs constructifs. elles ont comme les autres leur floraison."

"c'est le sens dans lequel on marche qui est efficient, c'est la tendance, la posture. de ce qu'il y aurait au bout du chemin ne vous souciez pas. il n'y a pas de bout aux chemins, pas de bout qu'on atteingne."


et il a tellement raison... (raison?)... je crois que je vais m'intéresser de plus près à lui et à son oeuvre...

je sais
il s'amusait comme un petit fou à canarder les marcassous à coups de boules de houx
l'écrivain l'a qualifié de méphistophélique; il n'en avait que faire
le jour ou jack l'a rencontré, il partait pour une autre ville
on ne peut pas le suivre, il va beaucoup trop vite. il n'est déjà plus là
écrase le chewing-gum sous le banc. on ne l'y verra pas. sauf en se penchant.

1.4.03

unsex yourself
c'est la schtroumpfette qui a foutu le bordel au mays maudit. avant, les schtroumps étaient asexués. et c'est ça qui était bien. avec elle, ils sont devenus des mâles, avec tout ce qui en découle, et c'est devenu le bordel.

31.3.03

you've never seen the lonely me at all
je sens que je vais crouler sous le poids de ce travail comme sous un lourd fardeau que je porterais sur mon dos sans sangles. finallement, j'aurais du faire un métier manuel. samedi, je suis allé, avec des gens de mon village, tenter une sorte de dépollution de la petite "rivière" de rien du tout qui "coule" dans le fond du "bois" en face de chez "moi". on était peu. pas de femmes, mises à part deux béguines, pas d'hommes, mis à part un gardien de prison (qu'on a fini par surnommer GGGB, pour "Grande Gueule Gros Bide"), deux retraités, et les quelques idiots du village. on a eu dur, mais on a fait un bon travail. j'en ai encore mal aux mollets. il faut dire qu'un frigo c'est lourd. surtout quand il est plein de terre et d'eau. rajoutons-y les cuisinières et autres pneus, de quoi attraper un bon mal de dos. mais ca fait plaisir à voir quand c'est "fini". je n'ai pas pris de photos. j'aurais du. j'aime bien les "avant-après". j'ai toujours aimé les "avant-après". quand j'allais encore chez le coiffeur, c'était uniquement pour feuilleter ces grand livres pleins d'"avant-après". j'étais tellement passionné que j'en avais même fait un avec moi. je devais avoir 15 ans, à l'époque. les rideaux derrière moi sont toujours les même à l'heure actuelle. si vous voulez les racheter, il n'y a pas de problème, je vous les vend. laissez un commentaire et un CV.